Normalement, ce véhicule (Français, hélas !) aurait dû être saisi et mis en fourrière et son propriétaire mis en garde à vue au chef d’incitation à la haine raciale ou, au moins, d’association de malfaiteurs en vue d’une action terroriste. Mais chez nous, même si la police intervient, les juges ne tiennent compte que des protestations légitimes des citoyens pour les retourner contre eux au chef de « haine raciale ». Et on continue à appeler cela une « démocratie » !
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